Escapades Nocturnes - Libre.

* ×× Wolf ...

Je trottinais agilement sur le sable blanc, sous la douceur argentée de la Lune. Les falaises qui encerclaient ce lieu le rendait presque inaccessible, impénétrable. C’est pour cela que j’était venue. Ce soir, comme bien d’autres soirs, j’avais envie d’être seule. Je voulais savourer ma vie, me délecter du souffle du vent.. Respirer. C’était étrange comme cette nuit mon esprit paraissait loin.. Mais qu’est-ce que c’était agréable ! Je me couchai contre d’un rocher, au pied des grandes falaises, admirant des mes yeux azur l’océan s’y accordant. Une brise légère m’apportait les odeurs des plaines, loin derrière moi, et je devinai une chasse, un divertissement auquel j’aurais aimé me joindre, un autre jour. Je remarquai comme toujours les plus petits détails, du clapotement des vagues, au vol des rapaces au-dessus des falaises.. Mais bizarrement, quelque chose semblait manquer. Je n’entendais pas le piaillement des petits oiseaux, et une odeur inconnue semblait présente. Je regardai, aux aguets, mais ne distinguai aucun prédateur. Peut-être la nature s'était elle endormie ? Je fermai les yeux, détendue, imaginant des paysages nouveaux, des loups admirables pour leur courage et leur bonté, fiers et maîtres de ces lieux magiques.. De tel loups existaient-ils ? Oui, j’en avais connu, autrefois. Peut-être un jour en croiserais-je de nouveaux ? Mon esprit vagabonda d’un point à l’autre, sans lien précis entre chaque pensée. Perdant complètement le contrôle, je me laissai aller à ce plaisir sans fin. La liberté, pure. Le corps n’est pas utile, temps que l’âme est forte. J’en savais quelque chose. Il avait suffit d’un son, d’une unique mélodie vibrante pour me tirer de la mort. Même avec un corps brisé, l’esprit, lui, ne part que lorsqu’il l’a décidé. Et je n’avais pas décidé. J’étais souveraine de ma vie, souveraine de mon corps. Oubliant jusqu’au monde, je flottais dans les airs, ou plutôt dans le néant, à la recherche de l’insaisissable : la vérité.

Elle avait fuit le monde depuis longtemps. Cette terre était maintenant vide de sens pour un loup, vide d’amour. L’honnêteté semblait s’être éteinte avec les générations passées. Je songeai à mon frère. Ce grand loup noir, qui avait tout détruit, par convoitise. Pourtant.. Je ne me souvenais pas avoir été en colère. Je ne lui en avait jamais voulu, même quand la mort frappait mon corps de toutes ses forces, m’appelant à ses bras. Qu’est-ce qu’elle m’avait semblé douce, comparée au soleil brûlant sur mes plaies sanguinolentes, et à la neige glacée, ce jour d’hiver où mon regard avait croisé le sien.. Une dernière fois, lors d’un dernier souffle.. Pourtant, j’étais là. Je respirai à plein poumons l’air marin, même si je ne le voyait pas. J’étais à des kilomètres de là, maintenant. Je n’étais qu’une jeune louve, pleurant la mort de son père dans la nuit, essuyant les larmes de son frère une fois le jour levé. Je me devais d’être forte, de faire semblant, voilant la vérité à mes yeux.

Le vent tourna, m’apportant une odeur nouvelle qui me tira de ma torpeur. Mes sens d’espion me soufflaient de me retirer, de me fondre dans la nuit, mais je n’en fit rien. Mes oreilles blanches se tournèrent lentement vers l’arrière, cherchant un son, pendant que mes yeux fixaient l’horizon, et que mes pattes se plantaient au sol. Après mes escapades, retrouver mes sens, l’usage de mon corps pouvait parfois être long, mais pas aujourd’hui. J’aurais parfaitement pu m’enfuir. Mais ce soir, j’attendais quelque chose.

* × Wolf ...

La lune éclairait de toute sa pâle lumiére d'argent l'horizon sans fin qui s'étendait sous mes pattes. Sans rien dire aux autres membres de la meute, j'alla découvrir cet horizon d'argent, en remontant la riviére je me laissa guider par le bruit du ruissellement de l'eau carressant la paroi de son faible courrant. Je prit le rythme de mes pas sur ce doux bruit. L'air ici était plus frais à cause des montagne environante au loins. Des montagnes ?! M'étant laisser guider par le bruit de l'eau j'en avais perdu le fil du temps, le temps si précieux dans une vie. J'avais donc bien marché. Je m'arretat et scruta du regard le paysage qui s'offrait à ma vue. Mes yeux se posa sur un rocher quelque peu difforme par rapport aux autres. J'alla voir ce phénoméne de la nature, le rocher ressemblait à un oiseau dont les plumes de sa queue formait un arc de cercle. Les reflet de la lune enlever l'ombre sur la sculpture de roche. Je m'arreta sur la beauter naturelle de cette piere qui était encore plus magnifique avec les reflet d'argent de la lune recouvrant l'ombre et la couleur terre de la roche, faisait croire que cet oiseau de pierre était habiter d'esprit faisant resplendir leur beautés. Ne pouvant plus résister d'avantage à l'appel de l'horizon, premier coupable de mon voyage, je contourna la statut et suivit le cour d'eau, allant toujours plus loin.

J'arriva enfin devant quelques feuillages d'ou l'on pouvait aperçvoir un spectacle plus beau encore que l'oiseau de pierre. Une plage au sable de couleur argent dut à la lune et d'une eau noire alliée de la nuit, refletant dans son intégralité la lune seule tache blanche au milieu de la noiceur de l'eau. Je balaya mon regard sur la plage et j'aperçu une louve, elle semblai être en transe, mais pourquoi ? A quoi devait-elle penser ? Je n'en savais rien mais, mais je voulais la connaître davantage tout en restant dans l'anonyma. Je m'approcha alors, tout doucement comme dans une partit de chasse ou il fallait approcher le gibier sans bruit afin de lui porter l'assaut final. Je n'avais pas fait attention au vent qui souffla dans la direction de la louve, celle ci du me sentir car elle n'était plus en "transe" et devait certainement sentir ma presence là quelque pars. Ce n'était donc plus la peine de me cacher, je sortit donc de là ou j'étais et fis face à la louve, la fixant, le regard interrogateur, et me presenta à elle:
"Bonsoir, je m'appelle Kiln, de la meute Est, et toi qui est tu?"

* ×× Wolf ...

« Bonsoir, je m'appelle Kiln, de la meute Est, et toi qui es-tu ? »

« Bonsoir.. Je m'apelle Midnight. »

« Que cherches-tu ici ? »

* Alpha ...

Il est là, le grand loup. Garan attendait quelque chose qui n’adviendra plus. Il attendait des réponses à ses nombreuses questions. Sous ses yeux s’étant la plage, et l’océan. C’est un endroit magnifique, idéal. Mais pas aujourd’hui, car aujourd’hui est un jour de deuil. Doucement, il avait marché, les yeux clos, comme sachant parfaitement où il allait. Il n’avait pas pensé, car chaque réflexion l’avait porté des mois plus tôt, au dessus du corps inerte de son dominant. Il s’y était une fois risqué, et plus jamais il ne le ferait. La douleur qui l’avait lancé avait été pareille à une balle reçue en plein cœur. Il savait ce qu’il devait faire. Son devoir.

Une rafale de vent soudain le porta, et il sentit une agréable impression de grandeur et d’importance. Depuis le temps qu’il attendait le moment de devenir comme Lui... Et ça y était. Mais à quel prix ? S’il avait su, si seulement il avait su... Il aurait reculé devant l’honneur et aurait préférer vivre dans son ombre pendant des années encore. Prendre sa place au prix de sa mort, c’était la lui voler...

Je ne suis pas prêt. Ouvre les yeux, Ô grand Alpha. Je suis une loque, tombant sous la première maladie. Je ne sais pas où je vais, Père, pas même où je les emmène. Je ne suis rien de ce que tu fus. Ni grand ni fort. Je n’impose pas le respect, juste une pitié méritée...

Et pourtant, quelque chose l’empêchait de baisser la tête à jamais. Elle. Cette louve à l’allure angélique et au regard de braise. Elle, qui rend chaque pas plus facile, et chaque journée moins pénible. Elle, qui ne comprend pas que s’il la repousse, ce n’est qu’un petit mal pour un grand bien. Garan s’abandonne à rêver d’elle, marchant comme un automate, les yeux semi clos. Un nouveau souffle du large lui amena diverses odeurs, dont celle d’un loup inconnu. Ses yeux s’ouvrirent brusquement, s’éclairant d’une aura ombrageuse. Il tourne la tête, et son regard doré se pose sur ta puissante silhouette, au pelage d’acier. Qui que tu sois, d’où tu viens, tu n’avais pas ta place sur ces terres.

D’un geste furieux, il prit un trot assuré et vif vers les deux silhouettes. Son corps amaigri par la maladie était à présent couvert d’un pelage à nouveau brillant de vie. En peu de temps, il fut devant vous, le regard sombre. Il pose les yeux sur toi, le loup gris. Ton nom lui était parvenu. Kiln. Un grondement lui échappe, étouffé par ses crocs.

- Tu n’as rien à faire là, Kiln de la meute Est.

Soudain, il détourne son regard vers toi, petite louve au pelage clair. Tes paroles résonnent encore dans sa tête, et ses yeux ont quelque chose de dur et de froid. Il laissait clairement transparaître que l’heure des remontrances viendrait, mais qu’il n’avait pas à faire cela devant ce loup. Probablement un espion, ou un guerrier.

* ×× Wolf ...

« Tu n’as rien à faire là, Kiln de la meute Est »

* × Wolf ...

La clarté de la lune se faisait de plus en plus rare. Reprenant son éclat d'argent elle laissait le champs libre aux derniére heures de la nuit qui elle, ordonna aux tenêbre de lecher la terre de leur pâle noirceur. Le paysage était comme un couché de soleil, sauf qu'ici le soleil était remplacé par la lune et les rayon orangé par de faibles éclats argentés ce qui n'enleve rien de la beauté du paysage. La louve s'appelé Midnigth, enfin c'était la reponse à laquelle j'eu droit elle me posa en retour une question:
« Que cherches-tu ici ? »

Qu'est ce que je cherchais ici ? Bonne question je n'en savais rien, aprés c'était normal vu que je ne cherchais rien, telle fut alors ma reponse:
"Je ne cherche rien, porté par les sons aux alentours et mon avis de voyager, c'est alors que mes pattes ont suivit le rythme de mon coeur crian à la decouverte j'arriva alors ici, dailleur ou somme..."
Je n'avais pas eu le temps de finir qu'un loup noir aux reflets d'argent assez maigre tout en restant massif à mes yeux se poster devant moi. Son regard était vraisemblablement pas remplit de sympathie, il en était même vidé de tout sentiment approchant la joie de prés ou de loin, sa voix chargé de mépris parvenue à mes oreilles, et tels étaient ses mots:
« Tu n’as rien à faire là, Kiln de la meute Est »
L'atmosphére se fit plus menaçante tout à coup, je raidit mes muscles, le sens en alerte je fixai le nouvel arrivant. qui était-il ? Que me voulait-il ? La louve se leva puis se plaça entre nous. Regardant le loup noir dans les yeux en laissant échapper de sa poitrine un faible grognement. Ils ne s'étaient échangé que des regards ce qui suffit à la louve pour revenir à sa place initiale. J'ne conclut que le loup devait alors être son supérieur ou le dominant de sa meute, mais qu'elle meute? Je prit les devants dabs le dialogue:
" J'avoue que je n'est rien a faire ici mais ce n'est pas une raison suffisante pour que je parte, du moins de mon plein grés. Dailleur je ne sais même pas ou je suis et quel mal j'aurais commis dans cet endroit. Et aussi, toi, qui est tu?"

* Alpha ...

Tu baisses les yeux, sous son regard sombre. Il continue cependant à te fixer, tentant de comprendre pourquoi toi, petite espionne, tu laissais un loup inconnu, provenant d’une autre meute faire le tour de la tienne. Crois-tu, petite Midnight, que le dominant de l’Est t’aurait laissée fouiller sa meute ? Crois-tu qu’il aurait pris le risque de dévoiler ses failles et ses atouts, aux yeux intelligents d’une espionne ? Tu es jeune, discrète mais réactive, il est surpris que tu fasses face à ce loup avec autant d’indifférence. Après ce que tu avais vécu, petite louve, comment ne pouvais-tu pas être plus méfiante ? Il se promit de tirer au clair cette histoire, jusqu’au moment où tu redressas les yeux vers les siens, le regard farouche. Tu te lèves, et te mets en travers de son chemin. Le cœur du grand mâle fait un bon dans son puissant poitrail. Tu grondes, mécontente, et le regard de Garan se fait plus ténébreux encore, incapable de cacher sa déception. Tu semblais lui faire des reproches, et une colère sournoise s’insinua à travers ses veines, faisant battre son cœur avec plus d’énergie.

Sa propre voix était aussi glacée que l’hiver qui faisait rage, et lui-même ne ménageait pas ses reproches. Cependant, tu sembles faire marche arrière, baissant les yeux, une moue impénétrable remplaçant ton mécontentement.

Toi le loup, tu te raidis, comprenant peut-être que ta promenade de santé allait prendre un terme. N’y avait-il pas de raison, pour que tu partes, le loup ? Qu’importe que ce soit de ton plein gré où non. Il te le demandait maintenant, mais il ne formulerait pas une seconde fois sa requête, avec autant de patience. Tu ne sais pas où tu es, Kiln, et cela calma un instant Garan, qui resta cependant tout sens en alerte, se méfiant d’une stratégie quelconque.

Tu ne te rendais pas compte du mal que tu faisais, et un grondement sourd monta en Garan, qui s’efforça de l’étouffer.

* ×× Wolf ...

« Que t’arrive-t-il donc, Midnight ? »

Lui

Il

« Je m’appelle Garan, Alpha de la meute Sud. Et il se trouve que tu es ici sur mes terres. »

« Que tu sois fouineur ou guerrier, tes motivations ne sont certainement pas louables. »

« Garan..

que faisais-tu ici, avant de nous trouver ? Cherchais-tu quelqu’un ? »

* × Wolf ...

- Que tu sois fouineur ou guerrier, tes motivations ne sont certainement pas louables.

Tel était alors la reponse du loup, qui plutot m'appris son nom, Garan, c'était alors l'alpha de la meute Sud. "Fouineur"? c'est comme sa qu'ils appelent leur espions par ici ? Ce nom ne me fit absolument pas plaisir. N'étant pas certains de ce qu'il voulait dire par fouineur, je ne releva pas cette injure à mon grade.

"Mes motivations ? Je n'est pas de motivations particulliéres, ni malsainnes a vôtre égard loups de sud ! J'ére ici et là tel un solitaire voyageant a travers le pays, sauf que j'apartiens à une meute. Peu être cela n'est pas louable pour toi, ça l'est pour moi."

J'attendit une reaction de sa part, bonne ou mauvaise je restais sur mes appuis prés à sauter ou à attaquer s'il le fallait. La louve se leva, rejoigant son Alpha. Elle lui murmura ça ressemblait à peu prés à ça :"Garan..que faisais-tu,...cherches tu quelqu'un?"

J'en fut un peu deshorienté, la personne qu'il devait chercher, si c'était se qu'il faisait, devait l'avoir mis en colére. J'en fut pris presque de compassion, mais le loup noir n'avait pas encore mis fin à ces légeres repraissailles....

[HRP: ça suffira hein ? lol]

* Alpha ...

Tes yeux dans les siens, il ne lui fallut qu’un instant pour voir arriver cette colère qui patientait en toi. Tu grondes, et il ne cesse de te fixer, gardant un calme d’apparence. Derrière cette façade, les questions se bousculaient, et la colère bourdonnait doucement. Ses yeux se font plus sombres, t’inspectant sans comprendre ce qu’il t’arrivait. Il est vrai qu’il ne te connaissait que peu, mais jamais il ne t’avait vue aussi remontée contre lui... Soudain, ses yeux d’ambre te quittent pour fixer l’inconnu, et un sentiment désagréable lui glaça le sang. Te serais-tu attachée à cet individu, qui n’avait rien en commun avec toi ? Pourquoi le défendre, s’il n’était rien pour toi ? Tu poses tes yeux dans ceux de Garan, et il lut la confusion dans ton regard. Mais c’était quelque chose d’étrange, d’indéfinissable. Il ne comprenait pas, et cela ne lui plaisait pas. Ton regard suppliant vers l’inconnu ne lui échappe pas, et ce fut son propre grondement réprobateur qui se fit entendre.

- A quoi joue-tu ?

Sa patience commençait à manquer, et il préféra se lever pour écouler cette nouvelle irritation. Tu montres les crocs, et ce fut plus qu’il ne put en supporter. Il s’approcha d’un bond de toi, dévoilant ses crocs d’un blanc brillant dans le noir. Ses yeux étaient soudain deux sphères hostiles qui te défiaient de venir au bout de tes idées.

- Bon sang, Midnight, dans quel camp es-tu ?

Comprenant que lui-même avait été trop loin, il se décala, concentrant toute son attention sur le loup au pelage gris. Toi le loup, tu insinues que tu n’es ici que par égarement, que tu n’as aucune idée derrière la tête. Devait-il te croire ? Le grand mâle demeura indécis, un peu perdu. Devait-il te laisser faire ? S’il laissait tous les loups à la mine sincère traverser ses terres, ne risquait-il de faire une énorme erreur ? Baissant légèrement la tête, convaincu que sa décision n’était pas digne d’un Alpha, il soupira.

- Si Midnight trouve bon de te faire confiance, alors vas. Mais Kiln, je te trouverai, et tu payeras le prix de ton erreur, si tu bafoues ma confiance.

Garan se détourna, les yeux mi-clos, las de cette discussion, quand tes paroles, petite Midnight, lui parvinrent. Garan... Que faisais-tu ici, avant de nous trouver ? Cherchais-tu quelqu’un ? Il tenta de comprendre l’expression de tes yeux, sans y parvenir néanmoins.

- Essaye déjà de m’expliquer ce qui te met dans cet état...

[ Nul, nul,nul. ]

* ×× Wolf ...

« A quoi joue-tu ? »

Il

« Bon sang, Midnight, dans quel camp es-tu ? »

« Si Midnight trouve bon de te faire confiance, alors vas. Mais Kiln, je te trouverai, et tu payeras le prix de ton erreur, si tu bafoues ma confiance. »

« Essaye déjà de m’expliquer ce qui te met dans cet état..»

* × Wolf ...

- Si Midnight trouve bon de te faire confiance, alors vas. Mais Kiln, je te trouverai, et tu payeras le prix de ton erreur, si tu bafoues ma confiance.

Se sont ses mots, les mots du loup noir, des mots qui installa une sorte de stabillité dans la situation dans laquelle ils étaient, prêt peu-être, à se sauter deçus, dans un combat ou le sang se serait séparer de la chair et l'âme du corp. La lune avait passer son zenith et entamait sa descente pour plus tard laisser place au soleil, Kiln jugea qu'il serait bon de retenir ces mots.

"Je te remercie de me confier le bénéfice du doute, et encore plus de m'accorder un peu de ta confiance. Je n'en n'abuserais pas Garan, alpha du Sud."

Kiln essaya de rester le plus respectueux possible, même s'il n'était pas de sa meute, Garan était un alpha, le respect lui était alors dut. L'alpha et la louve s'échangeaient des paroles que Kiln n'écoutait guere, il préférait le bruit des vagues à leur discussion. Il se coucha alors se laissant bercer par les vagues, luttan contre le sommeil, la fatigue du voyage commençait a se faire sentir.